D'Anna Popiel-Schneider

Chère Yvette,

Depuis quinze ans que ma Maman est partie, c'était toi ma maman sur cette terre, même ma "belle"-maman. Qu'importe que je t'appelais Yvette, tu étais ma maman, tu étais une des personnes qui m'étaient les plus chères, la maman de mon mari, la maman d'Alain.

On ne s'est jamais vraiment dit "Adieu", donc tu es toujours auprès de moi. Je me souviens de ton sourire, de ta gentillesse, de tes bons conseils. Je me souviens de nos dernières promenades dans la forêt, dans le jardin à la fin. Tu savais admirer la nature, la moindre petite fleur, la beauté du paysage, les oiseaux qui habitaient votre jardin.

Tu souriais en nous voyant arriver, Cécile et moi, souvent accompagnées de Janine ou de Hanka. Tu ne te plaignais pas, même quand on te savait souffrante.

J'admire ton courage et ton coeur si large où il y avait toujours une bonne parole pour chacun.

Que Dieu t'accueille auprès de Lui, et que tu puisses veiller sur nous de là où tu es maintenant.

Je te dis "à bientôt"

Ta belle-fille, Anna